En ce 19 Octobre, la très populaire Coulée Verte avait lieu pour moi et quelques 2000 autres concurrents sur le semi marathon qui s’élançait à 14h30 après avoir laissé s’expliquer les « furieux » du 8kms !
La chaleur annoncée était bien présente, le nouveau parcours modifié me ravissait car je passais devant ma maison, on se sent tout de suite plus « à domicile » dans ces cas là !
Pour ce qui est de la course, le départ rapide ne m’a pas du tout dérangé, j’ai du toutefois laisser partir le petit groupe auquel j’appartenais aux environ du 6ème kilomètre afin de ne pas exploser.
Cette décision m’a valu de passer tout le restant de la course...seul. J’aurais aimé avoir un peu de compagnie mais j’ai dû me résoudre au fil des kilomètres à rester seul avec mes pensées et les quelques points de mires que j’avais par moment.
La chaleur et l’accumulation des kilomètres aura fait baisser mon rythme de manière régulière sur la fin pour terminer en 1h15min22sec en 9èmeposition.
Toujours un bon moment de courir dans les rues de Niort avec une foule conséquente massée sur les endroits stratégiques du parcours.
C’est pour moi un semi marathon à faire et à refaire car toujours un plaisir d’évoluer devant les proches et les amis.
Au passage, merci pour vos nombreux encouragements!

Imaginez un petit garçon le matin de Noël qui se retrouve devant un gros cadeau sous le sapin...c’est un peu ce que j’ai ressenti lorsque j’ai fait le rapprochement entre mes parents qui descendaient à Lourdes et un triathlon à coté qui allait grimper le Soulor et l’Aubisque dans la partie vélo. Après une vérification sur les places disponibles dans le « wagon BELGY », ni une ni deux, je m’engageais en dernière minute pour ce triathlon de Baudreix, dit « du Soulor Aubisque ».
Après la surprise de notre venue à nos grands parents en camping à Lourdes, je partais le samedi matin pour reconnaitre la montée du Soulor et de l’Aubisque mais aussi la descente (autant pour la reconnaître que pour se faire plaisir !!).
Vient ensuite le Dimanche, date du triathlon, un départ à 9h dans une eau agréablement chaude (quasiment 23°C), Christophe, mon compagnon de club présent sur ce triathlon lui aussi, pourra en témoigner mieux que moi. Sa combinaison de natation ayant décidé de ne pas se fermer, il fera la partie natation en trifonction. Malgré un premier tour de 950m assez calamiteux pour moi ou j’ai suivi un groupe qui s’est rallongé par rapport au parcours défini, j’ai réussi à prendre mon rythme dans le deuxième et sortir de l’eau 21ème dans un temps perfectible pour moi je pense.
La transition qui a suivi fut elle aussi perfectible, un peu chiffonné d’avoir très moyennement nagé, je ronchonnais un peu tout seul au lieu de penser aux automatismes tels que : retirer la combi, mettre les chaussettes, chaussures, le casque et au moment de prendre le vélo « Ah mince ma ceinture porte dossard !! », je reposais donc mon vélo pour la mettre sur moi et enfin partir à vélo !
Une fois sur mon vélo, je me sens plus calme, plus confiant aussi ! Ca roule bien même si un troupeau de mouton me fait ralentir au bout de 20kms, un petit passage d’un mètre est quand même laissé pour mon passage mais je croise les doigts pour qu’aucun mouton n’ai envie de se jeter sous mes roues dans une pensée suicidaire (ouf c’est passé!!). La monté du Soulor est bien gérée, je ne cherche pas a reprendre les concurrents, cela se fera naturellement car c’est chacun son rythme dans ce col assez dur. En haut du Soulor, j’aperçois le premier duquel je me rapproche assez vite, une petite redescente et nous revoilà déjà dans l’Aubisque qui remonte vraiment sur les 3 derniers kilomètres seulement. Je talonne alors le premier, je le passe a 2kms du sommet environ et finis cette montée fort sans géré car une longue descente m’attend ensuite pour pouvoir récupérer. Le retour sur Baudreix se fait à allure rapide malgré quelques bosses
« casse-pattes » par moment.
Seconde transition éclair, je pars courir avec encore en tête les ennuis gastriques qui m’ont obligé à m’arrêter lors de l’Half de Royan 2 semaines auparavant.
Je pars donc en gestion de mon souffle pour ne pas se faire mal au ventre d’entrée et permettre à mon corps de comprendre que le vélo c’est fini et que maintenant il faut courir ! La course à pied se passe bien, je suis partagé entre l’envie d’accélérer par moments et la sagesse qui me pousse à gérer par car mon avance fluctue entre 4 et 5 minutes. Je me permets donc des arrêts au ravitaillement pour boire un coca à l’arrêt sans en mettre partout dans les yeux (c’est mieux !). Au final cette tactique s’avère payante, je ne perds que très peu de temps sur mes 2 poursuivants qui se battent pour la place de 2 et termine le semi marathon en un peu plus d’1h26 sur un parcours assez technique ! Tout de même heureux d’en finir et de gagner mon premier triathlon et surtout d’avoir trouvé des solutions à mon problème gastrique en course à pied !

Ce Samedi 6 Septembre, j'ai pris part à l'Half de Royan, tout comme un peu moins de 700 autres triathlètes.
Le petit mois de préparation, suite au retour de vacances, était des plus minimalistes, mais la fraicheur et le sérieux mis dans cette prépa au cours du mois passé me laissaient assez confiant.
Le départ natation fut un vrai bouillon, j'avais pris l'option de partir sur la droite pour couper au plus près des bouées et ce fut un festival de "je t'attrape la jambe" , "tiens prends une calotte"...au bout de 700m environ les positions plus figées m'ont enfin permis de nager plus tranquillement ( c'est à dire pouvoir bien forcer sur les bras sans avoir a zigzaguer, s'arrêter ou autre).
Apres un longue natation (plus de 1900m ou conditions difficiles car les meilleurs auront eux aussi mis plus de temps que l'an dernier), je sortais en 35 minutes autour de la 80eme position.
La partie vélo fut pour moi une longue remontée pour poser le vélo en 7ème position avant le semi- marathon qui m'attendait.
Je partais courir tout en gérant ma foulée après un gros vélo. au fil des kilomètres, les jambes allaient de mieux en mieux au cours du premier tour de 7.5kms. je reprenais même le 6ème. a hauteur de 11eme kilomètre je pointait en 5ème position après la défaillance du leader de la course.
Malheureusement la défaillance m'attendait elle aussi au tournant de la moitié de la seconde boucle. Mon ventre ne me laissant plus l'autorisation de courir je m'arrêtais une première fois pour voir si ça pouvait passer, puis après être repartis, 2 kms plus loin la vidange devenait inévitable...mais qui dit vidange dit aussi corps vide...c'est donc non plus avec mon corps mais avec ma tête que je terminais ces 6 derniers kilomètres mais je gardais tout de même mon petit mal de ventre qui souhaitait finir l'half avec moi!
Au final, après avoir vu passer quelques concurrents, je terminais 8ème, en ayant tout donné mais en gardant à l'esprit que sans ce problème gastrique, le top 5 était dans mes capacités.

Ce weekend, je participais au "challenge" de Jard sur Mer, c'est à dire un enchainement en 2 jours d'un aquathlon suivi d'un duathlon XS le samedi puis un triathlon S le dimanche.
Les distances assez courtes permettent de rendre cet enchainement possible même si ces courtes épreuves rendent l'effort très intense!
L'aquathlon sur 3 manches me permet de travailler mes lacunes (la natation) mais avec une vue imprenable sur les fonds marins, l'eau de la mer étant transparente, on aurait presque envie de rallonger un peu la natation ;) ... même si le fait de nager en trifonction n'est pas très agréable au premier contact avec une eau trop fraiche par rapport à la température extérieure :s
Je termine au général 9ème de cette épreuve. Le duathlon avait lieu plus en soirée . J'essaye de suivre les premiers même si la tache n'est pas facile sur une distance si courte (2.8kms). Je rentre à la 1èrer transition en 4ème position pour en ressortir 6ème...A vélo je remonte quelques places pour revenir avec Simon Billeau sur les 2 Rochelais qui avaient perdu contact avec Yohann Vincent. Nous somme dans un groupe de 5 avec le 1er à 20"...et c'est là que ca se gâte car personne ne veut rentrer devant j'ai l'impression. J'attaque donc de très nombreuses fois sans grand résultat. Après tous ces efforts mes jambes sont dures, la dernière course à pied d'1,4kms est donc très compliquée et je laisserai partir mes 4 anciens compagnons de vélo pour terminer 6ème.
Le triathlon du dimanche se passait lui aussi sous un grand soleil. Après une première boucle natation très problématique pour moi car mes lunettes avaient une fuite à l'œil gauche, je me faisait plaisir sur le 2ème tour de natation en doublant pas mal de monde après avoir pris le temps de re-régler mes lunettes qui miraculeusement ne fuyaient plus! Je sors assez loin en étant frustré de cette mésaventure. Je passe donc ma frustration sur mon vélo ou je remonte pas mal de place puis en course à pied ou j'essaye de finir assez vite pour ne pas aggraver mes trace de bronzage assez "spéciales" laissées par la trifonction :p Je termine 11ème et me classe 6ème au classement final du challenge. Jard offre un cadre sympa, une eau parfaite pour nager tout en voyant le fond. Malgré les distances très courtes qui nous obligeaient à tourner en rond ce format reste assez sympa.

Ce week end se déroulait l’IronMédoc, à Hourtin,
mon premier Ironman. Mon inscription à cet évènement à peine plus d’un an après mon premier triathlon me faisait penser que c’était peut être un peu présomptueux de s’essayer à se format aussi rapidement, mais j’avais envie de m’y essayer et l’échec ne doit pas faire peur, au mieux il stimule et permet d’apprendre. J’arrive donc à Hourtin le jeudi soir avec de la famille. L’anniversaire d’une de mes tantes présente à Hourtin me fait céder à la tentation d’un petit verre de rosé pamplemousse (mais pas 2 !). Après avoir récupéré le paquetage course du triathlète je comme
nce à sentir la course approcher bien qu’il reste encore une journée à attendre. Après une reconnaissance du parcours vélo le vendredi matin suivi d’un petit tour à la piscine de la résidence pour faire trempette (mais pas de baignade, l’eau est trop froide pour le frileux que je suis), les préparatifs du lendemain commencent à s’amorcer. Bricolage du vélo (merci papa !), organisation des différents sacs de transition, ravitos, installation du vélo dans le parc à vélo...l’heure du briefing d’avant course arrive le vendredi à 17h30. L’organisateur (Benjamin SANSON) est très chaleureux, bienveillant et prend le temps de bien tout expliquer et répondre aux questions des athlètes. Vient alors l’heure de la Pasta Party offerte par l’organisateur dans un restaurant du port d’Hourtin en tête à tête avec Clémence (ma compagne, coach, préparatrice mental, supportrice n°1 et j’en passe !). Puis au lit vers 21h. Le samedi matin, 3h15, le réveil sonne, petit déjeuner rapide pour « en avoir dans le ventre » mais avoir digéré avant le départ de 7h. 3h45, re-dodo jusqu’à 5h45 ou là il ne s’agit plus de rester endormi ! Direction le port d’Hourtin ou on utilise le débarcadère bateaux pour se mettre à l’eau et attendre le départ dans le port, entre les bateaux.
La natation se passe bien, j’irai même jusqu’à dire que l’ambiance était cordiale quand un concurrent m’a malencontreusement « mis une claque » au bout de 3000m, il a vu qu’il m’avait un peu sonné et s’est alors arrêté dans sa nage pour s’excuser ! Un vrai gentleman ! Je sors de l’eau sans trop savoir ou j’en suis, j’entends quelqu’un dire 27, je me dis « Ah c’est pas mal comme place » puis en prenant mon sac de transition je me dis : « Idiot, 27 c’est ton numéro de dossard !!! ». Peut m’importe la place, l’important c’est que je sois arrivé au bout de cette première épreuve.
La transition est rapide, des bénévoles nous aident à sortir les affaires de nos sacs, j’enfile mon équipement vélo et c’est partit. Ca part bien, entre 38 et 40km/h mais je me dois de ralentir si je veux rester dans les moyennes que je m’étais fixées entre 36 et 37. Un concurrent me double je me dis alors « Tiens il part trop vite » puis deuxième réflexion « Mais je ne peux pas le laisser jouer tout seul, aller je le garde en point de mire »... On roule comme cela à 10 mètres d’écarts entre 37 et 38km/h avec un autre concurrent qui est venu partager cette balade avec nous ! On se sert mutuellement de point de mire à tour de rôles et cela nous permet de rattraper des concurrents au fil des kilomètres. Malheureusement mon premier compagnon de jeu craque au bout de 130kms, nous filons alors vers la fin de l’épreuve cycliste à 2 en 6ème et 7ème positions. A la fin du vélo, je donne celui-ci à un bénévole qui se charge de le récupérer et l’installer à son emplacement dans le parc à vélo. Transition encore assez rapide pour enfiler les chaussures de running, je demande à une bénévole ou je peux faire pipi, elle n’en a aucune idée, je demande à un autre bénévole qui me dit « Oh t’ira dans la forêt ! ». Je pars donc courir, ca va bien, je suis pressé de faire ce marathon et surtout d’arriver au bout ! Au bout de 3kms pause technique dans la forêt. Je croise le premier puis le 2ème et enfin le 3ème et 4ème qui courent ensemble. Arrivé au demi-tour je suis étonné de ne pas avoir croisé un 5ème larron, je demande donc au commissaire si il n’y a bien que 4 concurrents devant moi, il me répond « Oui tu à 4 minutes de retard sur le 4ème». Dans ma tête ca va encore mieux, j’ai gagné une place sans m’en rendre compte (j’apprendrais après la course que le 5ème a eu une pénalité). Fin du premier tour, après 10.5kms, on m’annonce à 1’30 de la 3ème et 4ème place. Je continue de courir sur mon rythme et passe donc 3ème au cours du 2ème tour que je gère tout comme le 3ème. Arrive alors le dernier tour de course à pied, mélange de délivrance et d’état d’alerte, le corps est fatigué, les réserves sont au plus bas et une deuxième pause technique s’impose alors. Cette fois il faut aller plus loin dans la forêt car les concurrents sont présents en nombre maintenant au contraire du premier tour. Après cela je repars rapidement pour finir comme je pouvais car cette deuxième pause technique à finie de me déshydrater et ce ne sont pas les gobelets d’eau que j’avale à chaque ravitaillement qui me permettent de refaire vraiment surface ! Je savais ma marge de 6 minutes sur le 4ème à l’entame du dernier tour, il n’y a donc pas de quoi paniquer, je garde un peu de réserves énergétiques pour savourer la finish line ! Et quelle finish line, un grand moment ! Ça fait du bruit, ça applaudi, ça crie, je tape dans des mains, j’attrape la banderole. C’est fait ! Je suis abasourdi, ça bouge autour de moi, on me demande de faire un tour d’honneur avec les 2 premiers mais j’ai froid avec le petit vent qui tape sur mon ventre trempé.
J’enfile donc un polo finisher (ah oui j’y ai le droit !) on effectue le tour d’honneur. Tout ça dans une bonne ambiance, c’est génial ! Les copains sont venus m’encourager et participer au triathlon M du lendemain. On savoure cette belle soirée, on retourne voir les derniers arriver puis la journée se termine sur le port d’Hourtin à minuit pour regarder le feu d’artifice.
Ce fut une superbe expérience, pleine d’émotions, de surprises et de joies...tous les bons cotés que le sport peut apporter et ce pourquoi on aime tous relever des défis sportifs.

Ce samedi se déroulait le triathlon M des Sables, sur un parcours que je connaissais car ayant participé au S en 2013 et avec un temps à siroter une boisson en terrasse (mais ce n’était pas le programme prévu). Je retrouvais les collègues du SNT avant d’aller au départ donné sur les coups de 16h15 sur la plage pleine de spectateurs ou de plagistes venus profiter du soleil ! Un bon départ natation pour moi suivi d’une réflexion que je me suis faite dans l’eau : « C’est encore long pour rejoindre la première bouée !!? » car il y avait en fait 2000m de natation, un bon point a 2 semaine de l’Ironmedoc ! Sur la sortie à l’australienne je sens une crampe me chatouiller l’ischio droit 2ème réflexion « bon on va se calmer c’est que le début! » Je gère donc le 2ème tour pas trop mal car je sors en 42ème position ! Un grand MERCI à Alex qui m’a fait progresser autant en si peu de temps et tout ca dans la bonne humeur ! Je prends donc ensuite mon vélo, de bonnes sensations de vitesses, un drafting interdit et respecté ! Le vélo se passe sans encombres à part que j’ai voulu
me tester un peu fort et je me dis que la course à pied sera au courage et advienne que pourra ! En effet du courage il en faut dès le début pour partir courir, ca va pas mais « Ca va passer ». En fait non ca passe pas et après 2 tours je suis obligé de ralentir, je n’arrive plus à respirer et j’ai très mal au thorax. A la fin du 3ème tour mon poursuivant direct me rattrape, je l’encourage et le fait de l’avoir en point de mire me fait penser que ca va mieux. J’accélère et le double en me disant « Héhé je vais l’avoir juste pour l’arrivée » ah non il reste un tour. J’effectue donc le dernier tour en me disant « Idiot, idiot, idiot » mais le fait d’avoir repris mon souffle me permet de courir plus facilement. Je termine la course et entend le speaker annoncer l’arrivée du 2ème qui me précédait toute la course, je pensais être 5ème!!?? En fait un abandon et un « craquage » des 2 premiers m’a fait remonter sur le podium ! Plutôt sympa comme surprise pour l’arrivée !

Premier triathlon de la saison sous un temps annoncé peu propice à la pratique du sport en extérieur...
Je m'attendais à une eau froide, elle ne l'était pas du tout! Autre surprise, je m'attendais à nager vite et à m'amuser dans l'eau, ca n'a pas été le cas du tout non plus...la faute à un courant qui m'a poussé sur un bateau ainsi qu'un grand nombre d'autres concurrents qui sont venus me bloquer contre la coque de celui-ci (j'ai eu très peur). Le temps de repartir, j'étais déjà très loin. Le parcours amputé de la première bouée (au moment ou j'y arrivais) a créé la encore une surprise que j'aurai bien aimé ne pas avoir!
Je sors donc assez loin, de l'eau, mais heureux d'être sain et sauf! Après une transition tranquille (car la terre tournait beaucoup trop vite à mon goût après ce passage en mer chaotique), je pars pour le vélo! Le vélo ne se passe pas trop mal, la densité des concurrents sur le parcours fait que j'observe pas mal de "drafteurs" mais les commissaires sont a l'affut, beaucoup se font rappeler à l'ordre. Je finis le vélo avec une bonne envie d'aller courir, ca tombe bien il me reste 10km de C.A.P !
De bonnes sensations en C.A.P, même si ca fait mal cette petite ampoule sous le pied après que le pansement que j'y avais mis m'ait lâché pour aller voguer en mer! Les 40 marches passent bien au premier tour (normal on part juste), le 2ème tour c'est plus dur d'y garder un rythme ("Non je ne marcherais pas")!! Je rentre sur les concurrents qui me précèdent petit à petit jusqu'à rattraper le 10ème à...20m de la ligne!
Je termine donc ce triathlon par un "petit" sprint qui me fait rentrer tout juste dans le top 10 en un peu moins de 2h!

Deuxième Duathlon de l'année après Chasseneuil. Départ tres rapide du futur vainqueur que j'essaye de suivre jusqu'à la bosse marquant la fin du premier tour où je dois lever le pied car ca va trop vite pour moi. Je fais le deuxième tour de course a pied tout seul avec les 2 premiers en points de mire apres avoir repris le 3eme, lui aussi en surrégime. Sur la partie vélo nous ne voyons plus les 2 premiers mais je suis accompagné donc à 2 ca devrait pouvoir rentrer...mais je "pend" mon collegue de fortune qui ne peut plus me passer de relais très vite et lâche ma roue a la fin du premier tour, la bonne nouvelle c'est que je grappille quand même un peu sur les 2 premiers car je les vois, mais ca ne rentrera pas, je m'applique juste dans mon effort solitaire avec de bonnes sensations de vitesse par moment. Je pars pour la dernière CAP en 3eme position. Les places sont faites car c'est loin devant et loin derrière. Je finis donc en déroulant car une petite ampoule pied gauche et une crampe mollet droit ne demandent qu'une chose : que je finisse tranquille. Je termine donc 3eme en 1:00:29 sous un beau soleil et une organisation irréprochable !

Servant de support au championnat Régional, on sentait bien certains compétiteurs plutôt «tendus
» avec le départ du starter... Pas manqué, j’avais à peine fait 2 pas que BADABOOM, ca chute devant moi. J’évite tant bien que mal cette chute. 200m plus loin : rétrécissement + dos d’âne (annoncé comme dangereux avant le départ en course à pied)à REBADABOOM, juste 2 places devant moi... après l’avoir évitée celle-là encore je me suis dit que ça partait plutôt mal tout ça!
La course à pied se fait à une vitesse très rapide, trop rapide pour moi car je n’arrive pas à suivre les premiers. Je prend mon vélo avec dans l’optique de me faire plaisir (c’est grisant la vitesse), je double presque tous ceux qui étaient devant moi sauf un! Je pars donc pour la dernière course à pied en 2ème position avec le premier en point de mire...mais je suis aussi en point de mire de tout un petit groupe derrière moi! Un coureur en relais me passe (il est frais lui aussi
!) ;)
Je vois passer Valentin Rouvier et je l’encourage pour qu’il rentre sur le premier (Il faisait forte impression, je me suis dit qu’il pourrait peut être le faire...mais non). Deux autres concurrents vont me passer ensuite, ils vont vraiment vite comparé à moi, ce n’est pas ma spécialité les courtes distances mais ce n’est pas ce que je travaille avec l’Ironmédoc dans 2 mois!
Au final, content de cet après midi passé avec les 4 copains avec qui nous nous étions inscrits pour ce duathlon et merci aux amis du SNT79 pour leurs encouragements et leur bonne humeur!